Faisons connaissance

Salut, ici Magalie Dannely

Au moment où j’écris ces lignes j’avance vers mes 37 ans, je suis mariée et j’ai deux enfants de 10 et 4ans.

Je profite de 6 années d’expériences en tant que thérapeute. J'ai eu la chance d'accompagner plus de 1 000 personnes à mon cabinet. Principalement des femmes et des enfants.

Je suis passionnée par le potentiel humain et notre capacité à nous épanouir autant qu’à nous nuire !

Les sujets sur lesquels je me suis spécialisée sont nombreux mais pour moi sont tous reliés les uns aux autres.

L’estime de soi, l’alimentation, la communication, la parentalité, la sexualité et l’accomplissement de Soi.

Je suis toujours impressionnée de constater que lorsqu’un de ces domaines est fragilisé tout le reste devient déséquilibré ! Toute ma vie en est l’exemple… Je vous raconte !

"Mon adolescence"

J’étais une enfant puis une ado mal dans sa peau. La communication n’est pas au beau fixe à la maison et pour couronner le tout au collège, je suis victime d’harcèlement scolaire, j’avais des facilités à l’école que je ne voulais pas exploiter (trop has-been !) et surtout je me sentais incomprise voire « pas normale » !

A 13 ans je décide que ça suffit, les idées noires m’assaillent, je n’en peux plus, il faut que ça change ! Je ne veux plus être moquée ni humiliée, je développe alors mon sens de l’humour et mon sens de l’auto-dérision et surtout j’apprends le sens de la répartie ! Je deviens la bonne copine, moche mais la bonne copine ! C’est là que commence ma passion pour la « connaissance » ! Je lisais déjà beaucoup à l’époque, cela me permettait de m’évader et de créer ma bulle « sécure ». Mais je décidais cette fois d’apprendre à me mettre en valeur, à devenir populaire ! J’empruntais tous les livres sur le style, le maquillage et la beauté à la bibliothèque et j’attendais impatiemment la sortie de mes magazine préférées chaque mois : Girls, jeune et jolie, cosmo, Miss… 😊

Les années passent et je me révèle de plus en plus !  Je me prends en charge et enchaîne les rdvs pour changer physiquement : dermato, ophtalmo, opticien, dentiste, cours de maquillage, je me fais même recoller les oreilles…

A 16 ans je fais mon entrée au lycée métamorphosée, je suis toujours la bonne copine, mais je suis aussi celle qui a le plus de style et d’élégance, on me donne facilement 18-19 ans !

En ce qui concerne mon potentiel, je ne le dévoile toujours pas, d’ailleurs je dois lutter pour faire accepter mon dossier au lycée pour un Bac pro. Mais certains professeurs voient ce que je ne vois pas puisque mes bulletins regorgent de remarques comme : « peut mieux faire ; se repose sur ses acquis ; manque de volonté ; paresse… » Mais à l’époque je ne le vis pas comme ça, je me sens nulle, fainéante et incomprise.

Mon entrée au lycée me transforme, les professeurs en pro nous considèrent comme des adultes et pour la première fois de ma vie, je sens que j’ai de la valeur et du potentiel. Avec l’encouragement de mon prof de maths, je termine l’année première de ma classe avec les « Félicitations » ! Waouh ! J’ai donc le choix pour mon orientation de l’année suivante ! Je choisis Littéraire car j’adore les langues étrangères !

L’entrée au lycée général me replonge instantanément dans mes vieux démons, infantilisée, contrôlée, le par cœur sans réflexion sauf en philo (j’adore la philo 😊) auront raison de moi encore ! Je ne travaille plus, je me contente du minimum, je ne vais plus en cours sauf pour récupérer les supports, et les professeurs m’assaillent à nouveau des « tu peux mieux faire ; quel dommage ; aucune volonté… »

A nouveau je me sens nulle, incomprise et mon intolérance à l’injustice me rend amère, agressive et anxieuse. Pendant ces 2 années de bac, je fais de violentes crises de spasmophilie et des occlusions intestinales qui me valent des séjours aux urgences et un traitement au Lexomil, qu’heureusement je ne supporte pas et que je devrai arrêter 1 mois plus tard !

Le calvaire s’arrête quand je passe le bac et que je l’obtiens avec 10.01 de moyenne, ouf !!!

Mon estime et ma confiance en moi bien ratatinées m’empêchent d’envisager des études de langues à l’Université et préfère me consacrer à ma passion : L’esthétique. Les professeurs refusent mon choix d’orientation me poussant à me choisir les langues. Peine perdue, je choisis mon CAP esthétique ! Je veux aider les femmes à avoir de l’assurance et confiance en elles !

"A la recherche de la perfection"

Me voilà lancée à la fois dans mes études d’esthétique et dans une vie de couple. Je quitte le foyer parental à 18 ans. Pendant 3 ans, l’ambivalence règne en moi. J’adore mon métier et en même temps l’univers est très compétitif, hypocrite et jugeant ! Je réussis mes études haut la main mais mon estime personnelle ne fait que baisser. Mes occlusions intestinales continuent, j’ai de grosses compulsions alimentaires et je prends 15 kg. 

A 20 ans je suis toujours dans un été dépressif sans le savoir, je suis comme ça c’est tout ! Agressive, révoltée, épuisée, sans volonté, j’aspire à mieux mais j’en suis incapable. J’ai honte ! Je change de poste régulièrement, de parfumerie en parfumerie jusqu’à l’aéroport de Paris, jusqu’à devenir ambassadrice Dior ! 

J’adore aider les femmes à reprendre confiance en elle, je me forme au Conseil en Image pour les accompagner un peu plus dans leur transformation. Le métier me passionne et le contact avec les gens me nourrit. Mais au fur et à mesure, j’ai plus l’impression de proposer du déguisement que de l’estime. Je sens qu’il manque quelque chose pour aider mes clientes à se délivrer sans comprendre qu’il me manque la même chose ! Le côté commercial du métier me pousse à plus leur vendre ce dont elles n’ont pas besoin qu’à les écouter. 

A 23 ans tout bascule ! Je n’en peux plus, les idées noires me reprennent, je me déteste, je déteste mon corps, mon couple est au plus mal et mes relations avec les autres sont tendues !

Entourée 8h par jour par des miroirs éclairés par des spots agressifs, par des photos d’hommes et de femmes « surréalistement » parfaits. Je me trouvais de plus en plus de défauts que je prenais soin de dissimuler, puisque j’avais « la chance » de connaître toutes les astuces et d’avoir tous les produits nécessaires pour ça ! Plus je me dévalorisais, plus je prenais du poids et plus j’avais des problèmes de peau !

J’ai passé mes dernières années en parfumerie à essayer d’être parfaite, ne me laissant aucun répit de par mon métier. Pas question de sortir acheter le pain sans maquillage, pas question de mettre un jogging les jours où je veux trainasser, ni de baignade à la plage sous prétexte que mon maquillage allait couler, pas de short quand il fait 35°C parce que je n’ai pas eu le temps de mettre d’autobronzant…. Je savais trop à quel point j’étais imparfaite et je voulais que ça se voit le moins possible, sinon je perdrais tout crédibilité !

Je vais trop mal ! Mon couple n’y résiste pas, je décide alors de tout recommencer.

Deux ans plus tard, je pars m’installer au Pays Basque avec mon nouveau petit ami qui deviendra mon mari (et le père de mes enfants) et j’arrête l’esthétique, j’ai 25 ans !

" Je quitte tout et
je recommence "

Je m’y installe en juin 2010 et je vis de boulot alimentaire. Je savoure un retour à l’essentiel, à la nature, que je n’ai jamais connu ! 

Je retrouve mon poids de forme mais surtout une bienveillance et un lâcher-prise que je ne me connaissais pas ! Ici personne ne me connaît, je ne suis ni en colère ni révoltée et je peux être moi-même ! 

A 27 ans, je donne naissance à mon premier enfant, ma fille, et des angoisses me reprennent, j’entame ma première thérapie, pas pour moi, pour elle ! Je ne veux pas qu’elle soit comme moi, je ne veux pas l’abîmer par mon anxiété ! C’est à 27 ans, que je me comprends enfin, c’est à 27 ans que je comprends mon histoire, c’est à 27 ans que je prends enfin conscience de mon potentiel ! Une vraie libération… 

Le métier de thérapeute me fascine et je lis de plus en plus, j’apprends de plus en plus mais je n’ai pas assez augmenté mon estime personnelle pour envisager de faire ce métier : « Mais je suis qui moi pour être thérapeute ?! Une esthéticienne, thérapeute, n’importe quoi ! Une thérapeute dépressive ! »

 Je consacre nos dernières économies et les premières années de ma fille à faire des études de comptabilité (parce que j’ai compris que c’était facile pour moi !). Le retour en formation sera une vraie thérapie à elle toute seule, un lot d’injustice, de conflits entre stagiaire, d’ennui et de colère, mes vieux démons reviennent. Je finis la formation avec les meilleurs résultats mais hyper fragilisée, je ne trouve par la suite que des missions d’intérim payées au SMIC comme mon boulot alimentaire ! DESILLUSION !

Je n’ai plus d’argent, plus d’énergie, plus d’estime de moi ! A la place je culpabilise de tous ces sacrifices inutiles, j’ai honte de n’avoir toujours rien créé professionnellement à 28 ans, je suis désabusée ! J’enchaine une nouvelle dépression, mon couple bat de l’aile, ma fille devient anxieuse et à 2 ans ne dort toujours pas la nuit. Mon corps somatise à nouveau, c’est le retour de la spasmophilie !

Au fond du seau, alors que je suis confrontée à mes limites, encore une fois je prends les meilleures décisions de ma vie ! Nous vendons une de nos voitures, je reprends la thérapie et m’offre à crédit ma formation « Hypnothérapeute », mes excellents résultats et le plaisir sans fin que j’éprouve me poussent à continuer en Sophrologie et en Coaching. Je suis supervisée, je continue ma thérapie et je deviens formatrice dans mon centre de formation ! La vie me sourit à nouveau à moins que ce soit moi qui lui souris enfin ! 

J’obtiens la maison de mes rêves, le cabinet idéal chez moi, mon couple est épanoui et ma fille qui souffrait d’intolérances alimentaires guérit et dort enfin la nuit ! J’ai 30 ans !

Le cabinet prospère, je continue de me former, je passe certains dimanches sur Radio France Bleu Pays Basque dans l’émission « les experts » et je n’ai jamais été aussi épanouie de ma vie. Je consacre mon temps à ma famille, à mes clients, à apprendre, à lire les nouvelles recherches sur les neurosciences, la physique quantique, la psychologie, le rééquilibrage alimentaire, l’énergétique, les huiles essentielles, la lithothérapie, la spiritualité… Tout va à merveille ! 

Mon nouveau métier me permet d’accompagner les personnes à reconstruire les fondations solides de l’estime et la confiance en Soi, un parcours que je ne peux qu’INCARNER aux vues de mon parcours. Je me sens à l’abri, sereine pour l’avenir.

" Ma dépression post-partum ! "

Fin d’année 2016, notre fille à 5 ans et nous décidons de concevoir notre 2ème enfant ! Forte de mes thérapies et de mes connaissances, je décide de vivre en conscience ma grossesse et surtout un accouchement à domicile grâce à l’hypnose. Tout se passe à merveille ! 

Mon fils nait en Aout 2017, à la maison. Un moment qui restera gravé dans ma mémoire à jamais ! Mais surtout cette sensation de puissance féminine indescriptible. 1h après mon accouchement, je suis comme transcendée, tout va bien et les quelques points que je dois subir ne se sont en aucun cas fait ressentir ! Incroyable ! 

C’est par la suite que cela se gâte ! J’avais décidé d’allaiter mon fils, ce que je n’avais pas fait pour ma fille, et je m’étais préparée toute la grossesse pour ça. Ayant subi une réduction mammaire à 19 ans, on m’avait prévenu que je ne pourrai pas allaiter, mais comme j’ai toujours cette fâcheuse manie de vérifier les informations que l’on me donne avant de les valider, j’ai appris qu’avec le temps les canaux mammaires peuvent se reconstruire. J’ai lu énormément sur ce sujet, j’ai stimulé mes seins et surtout j’ai pratiqué l’autohypnose chaque jour ! 

J’ai allaité mon fils 15 jours, j’avais déjà du lait au 8ème mois de grossesse ! Mais l’allaitement était fastidieux parce que mon fils ne mangeait pas assez et restait des heures au sein, la mise au sein me brulait de l’intérieur, ma sage-femme était en congés et malheureusement je n’ai pas été accompagnée comme je l’aurais voulu à cause des préjugés que le corps médical avait sur moi à cause de mon accouchement non assisté. 

Elles menaçaient d’hospitaliser mon fils et le pesaient 2 fois par jour. Autant vous dire que ma « puissance féminine » avait disparu ! Elles n’écoutaient pas les remarques que je leur faisais sur mes douleurs et les boutons de mon fils. Au bout de 15 jours d’inquiétude, de culpabilité, de déception et d’épuisement, ma sage-femme (revenue de congés) me diagnostique une candidose mammaire et un muguet aggravé pour mon fils (que je soupçonnais depuis le début !) 

Moi qui avais attaché de l’importance à une grossesse au naturel et à une naissance physiologique, nous voilà mon fils et moi sous une batterie de médocs pour pouvoir le nourrir. Mon fils guérit en quelques jours mais pas moi. Je dois lui mettre une crème à chaque tétée dans la bouche pour éviter de le contaminer… Le stress tarit mon lait et mon énergie ! J’arrête, non sans honte et inquiétude ! Je ne veux pas lui donner du lait industriel comme à sa sœur (qui était intolérante !). 

En même temps je dois déjà reprendre les consultations (merci le système français pour les mamans entrepreneures !). Je donne toutes mon énergie au cabinet car je refuse de pénaliser mes clients et je dois le dire travailler me redonne confiance en moi ! Mais je ne vois pas la dépression post partum arriver ! Elle se révèle à moi comme une gifle violente ! J’ai besoin que mes collègues et les soignants me le répètent pour l’intégrer vraiment !

Mon monde s’écroule, une thérapeute qui fait une dépression post partum, la honte ! Je me dévalorise, je culpabilise, je m’isole, je fais semblant pour que personne ne découvre mon imposture, ce qui, JE LE SAIS, renforce le mal-être ! Mes vieux démons reviennent : pessimisme, agressivité, colère, injustice, dévalorisation. Mon couple, mon corps, ma sexualité vont mal ! Encore !!! Cette fois pas de spasmophilie mais un dérèglement hormonal costaud qui provoquent tout un tas de symptômes gynécologiques et ORL ! J’enchaîne les rdv naturo, reflexo, gynéco mais rien n’y fait !

Il m’aura fallu un an et demi, et j’ai encore honte de vous l’écrire à cet instant précis, pour réaliser qu’hormis un retour en thérapie, aucuns rdv médicaux ne changeront la donne ! Je somatise parce que je n’écoute pas mon âme en souffrance ! Je sais ce qu’il est bon de faire lorsque l’on souffre de dépression et c’est justement ce qui me perd ! J’applique, j’applique mais rien ne fonctionne parce que je n’applique pas les bons gestes par amour mais par rejet de cette part fragilisée en moi !!! Je ne peux accepter cette part et continuer ce métier ! Je me sens dans l’imposture ! Alors même que je formais mes stagiaires en leur rabâchant qu’un travail thérapeutique n’est jamais terminé, qu’il faut continuer le travail sur Soi pour être un bon thérapeute et se positionner humblement ! Foutue théorie difficile à mettre en place !

Je reprends la thérapie, mon ego me fait plus mal à la prise de rendez-vous que pendant les séances. Je me réconcilie avec moi-même, je redeviens bienveillante, je comprends les enjeux de l’allaitement et des blessures que cela a réouvert en moi ! Je comprends le message du dérèglement hormonal, il m’aura fallu un an pour m’en remettre, pas comme avant mais mieux qu’avant !

Encore une fois, c’est au fond du seau, que j’ai pris les meilleures décisions de ma vie. 

J’ai suivi une formation de « Sexothérapie »  avec Alain Héril. J’ai continué quelque temps ma supervision en sa compagnie et même si cela me bouscule encore, c’est salvateur ! Je souris à nouveau à la vie et mon couple va mieux, mon fils est incroyablement serein, le cabinet continue de se développer et comme la vie est faite de magie, je reçois de plus en plus de femmes enceintes, de femmes souhaitant utiliser l’hypnose plutôt que la péridurale, des femmes entrepreneures jeunes mères, des femmes faisant des dépressions post partum et je suis transportée à chaque fois que je peux les accompagner avec mes outils et surtout une totale compréhension de ce qu’elles vivent !

" Moi aujourd'hui "

Aujourd’hui ma fille a 10 ans, mon fils a déjà fait sa rentrée à l’école et j’ai à nouveau l’énergie de me consacrer à mes projets.

J’ai créé, avec une amie, l’association « Parents (presque) Bienveillants », on y traite de sujet comme l’éducation positive, l’accompagnement à la naissance, la parentalité, le couple et la sexualité. J’y propose des ateliers et des conférences régulièrement ainsi que des groupes de paroles pour sortir de l’isolement.

Je co-anime « Papote entre mamans » avec Solène Choblet sur Instagram.

Je propose des programme de coaching en ligne pour aider les femmes à s’épanouir en prenant soin d’elles !

J’ai appris à allier ma vie de famille, ma vie de couple ainsi que ma carrière professionnelle pour m’épanouir pleinement… selon mes critères !

Est-ce que c’est parfait ?! Bien-sûr que non !

Est-ce que je suis à l’abri d’un nouvel épisode difficile dans ma vie ?!

Non plus…

Ce que je sais c’est que j’ai appris à accueillir mes difficultés et mes émotions telles qu’elles sont ! J’ai appris à ne plus lutter, j’ai appris à me laisser traverser et à y voir le côté positif. Il y a toujours, toujours, un point positif !

Je suis devenue une meilleure thérapeute aussi, parce que je ne  connais que trop bien ces situations où l’on se sent perdue, submergée, envahie et même découragée. Ces moments où aspirée dans une spirale infernale, tout le reste finit par s’effondrer.

Ma solide formation, mon expérience professionnelle et ma vie personnelle deviennent un atout considérable pour vous accompagner.

La mission que je me suis donnée est de vous aider  à reprendre confiance, à vous débarrasser de votre culpabilité pour enfin prendre soin de vous et vivre une vie épanouie dans tous les domaines !

Magalie Dannely

8 années

d'expérience

4

Programmes en ligne

1200+

Clientes heureuses

Comment je peux vous aider ?

Hypnose, Sophrologie, Coaching et Sexothérapie, tout autant de cordes à mon arc pour vous accompagner à enfin prendre soin de vous pour vivre une vie épanouie et sereine

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